L'histoire sans fin

Je me demandais ce qu'on pouvait faire comme posts à flood, et puis j'ai pensé à un jeu de cartes qui consiste à raconter une histoire à plusieurs : l'un commence et les autres personnes continuent l'histoire chacun son tour

Il vous suffit de reprendre quelques éléments de l'histoire précédente, et après vous pouvez partir n'importe comment Vous pouvez evidemment ecrire 2, 5, 10 ou 100 lignes selon l'inspiration !

Bon, je commence

" C'était à l'orée du 26 ème siècle; la race humaine, dans sa folle quête d'espace et d'autres races intelligentes, avait commencé à coloniser nombre de systèmes solaires de la galaxie, le voyage interstellaire rendu possible par l'apparition des technologies d'hyperespace.

La mission Yoméga 13 était sensée préparer le terrain pour une future colonisation sur la planète Hg132T, du système solaire Hg132. 5 vaisseaux de transports aux énormes capacité accompagnaient le colonisateur primaire, celui contenant toutes les matières premières et machines prévues pour lancer la terraformation de cette planète.
La seconde vague arriverait plusieurs décennies plus tard, avec plusieurs dizaines de millier de personnes.

Helena Farrow souriait en pensant aux premières missions, un siècle et demi plus tôt, où les colonisateurs secondaires arrivaient avec à peine 500 colons. C'est alors qu'une voix familière la tira de sa torpeur :

" Alors premier lieutenant, on s'octroie une petite pause ? "
Sans même se retourner, elle répondit :

" Capitaine Venon, n'avez vous rien de mieux à faire que de surveiller tous mes faits et gestes ? Voila 18 heures que je n'ai pas dormi, en vue de notre attérissage prochain. Je pense pouvoir sans remords m'offrir ce petit moment de solitude. " L'insistance sur ce dernier mot serait presque exagérée se dit-elle, mais il le méritait bien.

"Hmm toujours d'humeur aussi agréable ma très chère ! Eh bien, je venais juste vous annoncer que nous sommes sortis plus tôt que prévu du trou de vers, et que la planète est en vue ! Fort belle d'ailleurs, si vous voulez connaître mon avis."

Helena aurait décidemment toujours autant de mal avec ce petit sourire suffisant, mais elle devait avouer qu'il l'avait surprise. Elle ne put retenir un léger sourire de joie à l'annonce de cette nouvelle :

" Oh. Bien, je suppose que je dois vous remercier pour cette nouvelle... Je me rends de ce pas l'admirer. Cela fait si longtemps que j'attendais ce moment. "

Elle sentit poindre une légère jalousie devant le nombre de personnes déja massées devant le grand écran, qui admiraient la planète vue de l'espace à travers le téléscope du vaisseau. Elle était encore plus belle qu'elle ne l'avait imaginée. Les espaces terrestres étaient comme prévu assez réduits, mais une fois la terraformation lancée, la température devrait baisser, des calottes glacières se former aux pôles et libérer de plus grands espaces habitables assez rapidement.

La voix du commandant retentie dans l'immense hall :
" Notre arrivée prévue dans 38 heures. Notre arrivée est prévue dans 38 heures. Je vous remercie d'avoir tous été si patients, et vous souhaite la bienvenue sur notre nouvelle planète ! "

Une douce clameur de félicité s'éleva dans la foule, à laquelle elle ne put s'empécher d'adjoindre ses sifflements... "

Eclairés par l’étoile couchante sur la face nord de la planète Hg132T, les vaisseaux s’en rapprochaient doucement. Celle-ci était entourée de plusieurs anneaux turquoise, rouge et jaune. Curieux, se dit Helena, de trouver un tel ensemble d’anneaux sur une si petite planète…

Nimbée d’une atmosphère verte, avec une forte densité de dioxyde de carbone et d’azote, Hg132T semblait propice à la vie. Les détecteurs du vaisseau de colonisation montrèrent sur une table holographique les prémices de ce qui les attendaient : une température ambiante de 20° Celsius, ainsi que de nombreux cyclones de près de 50 km de diamètre.

« Pas très accueillante la souris, n’est ce pas mademoiselle Farrow ?
L’interpellée se tourna vers le hologramme du commandant Tchekhov. L’image net mettait en évidence sa barbe démesurée qu’il taillait avec soin.
« En effet, commandant. Les conditions climatiques sont assez épouvantables. Néanmoins, la proximité de la planète sera favorable à la réception photonique de nos futurs satellites solaires.
- J’apprécie votre esprit pratique, mademoiselle Farrow. Je ne doute pas qu’il nous servira en cas de problème sur cette planète. Dites-moi : une chose m’intrigue. Comment expliquez vous la présence de ces anneaux autour d’une si petite planète ?
Helena pris un air pensif : « Hé bien,…Pour tout dire cela peut être tout et n’importe quoi. Un astéroïde qui a percuté la planète et laissé une trace gérée par la gravité de celle-ci, ou…
- Madame !
L’interruption venait du caporal Dirk Eluard. Jeune pour son age, il n’en demeurait pas moins un excellent anthropologue. Son visage poupin se tourna vers Farrow.
« Les sondes ont détecté des ruines. En direction du pole sud.
- Je pense que cette planète nous promet de bien belle surprise, dit le commandant d’un air grave. Capitaine Vénon.
- Oui mon commandant ?
- Envoyez une équipe de reconnaissance. Je veux savoir avant tout si cette planète est habitée ou non. Dans ce premier cas, voir si les autochtones ne représentent pas de menaces.
-Bien mon commandant.

Une équipe composée de quinze soldats "aguerris" partit vers la partie sud de la planète, qui était un grand désert. Farrow fut volontaire pour la mission de reconnaissance. Elle n’aurait loupé celle-ci pour rien dans l’univers. Accompagnée du caporal Dirk Eluard et du capitaine Vénon, qui ne semblait pas aux anges, elle scrutait la nouvelle planète de son alliance. Qu’est ce qui nous attends, là-bas ?

Plus que vingt heures avant l’arrivée du vaisseau de colonisation. Plus que deux heures avant l’arrivée de celui de reconnaissance…

a quelques centaines de millions de kilometres de là, sur une petite planete dorée du système solaire Hg132, les techniciens astronomes ''xianlians'' avaient remarqué les mouvements de flotte inconnus dans le systeme solaire. ils avaient suivi l'evolution de cette petite flotte en direction de la cinquieme planete du systeme, et paradoxalement, ils ne s'en inquiete pas outre mesure car les mouvements de flotte etaient assez frequents dans cette partie de la galaxie. mais quand ils se rendirent compte que cette petite armada contenait un vaisseau de colonisation de classe ''alpha'', c'est a dire la colonisation et la terraformation, leur attitude changea et ils s'empresserent de faire un compte rendu detaillé au chef des armées xianlian, un certain yioji, d'une petite stature car il ne mesurait pas plus de 2 metres cinquante mais doté d'un caractere irrascible et changeant.
cette decouverte d'un intelligence extraxianlianne venant coloniser une planete de leur systeme allait declencher une serie d'evenements d'une ampleur jusqu'alors inconnue.

Le croiseur s’approchait de la planète. L’équipage n’était pas serein. Ils en étaient, pour la plupart, à leur première affectation. Des rêves de gloire et de batailles les avaient poussé à s’enrôler. Maintenant, la peur les tenait dans sa main. Ils se contentaient d’échanger balivernes et anecdotes d’académiciens. Le caporal Menford narrait la fois où il s’était retrouvé dehors au matin, lors de la levée du drapeau, dans son lit que ses camarades de chambrée avait silencieusement descendu. Le commutateur retentit à la fin de son histoire.
« Leader A pour épervier, leader A pour épervier, répondez épervier.
- Je vous écoute, leader A. » répondit le 1 ère classe Basset.
« J’ai des nouvelles concernant les anneaux de la planète. »
Héléna se rapprocha.
« Les instruments ont détecté une forte concentration d’énergie ionique. De plus, ils sont essentiellement composés de minéraux et de cristaux. Voila pour les dernières infos. Bonne reconnaissance. »
Le petit équipage observa Farrow. « Cela ne signifie qu’une chose : c’était une lune.
-Quoi ? Ces putains d’anneaux formaient une lune ? Sans blague, madame, j’aurai pas trouvé ça tout seul ! »
Le sergent Steewick, doté d’une carrure impressionnante et d’un langage à faire rougir un docker, était le seul vétéran de l’équipage. Mis à part le 1 ère classe Honnaga.
Héléna se tourna vers le sergent. « Lisez le rapport qu’ils viennent d’envoyer : la lune existait il y a encore 1 mois. Voyons, capitaine, réfléchissez : une lune désintégrée, une forte concentration d’ions, une couleur différente pour chaque anneau. Cela ne vous dit rien ?
- Bordel de merde… Un tir d’étoile noire…

Le croiseur arriva dans l’atmosphère de la planète. Les scanners de l’appareil indiquèrent la présence de construction sur sa surface.
- Regardez, dit Basset. On dirait des mines.
- Oui, et ici on peut apercevoir des restes de défenses, répondit un soldat.
Le capitaine Vénon jeta un œil vers le hublot, puis se tourna vers Farrow.
« Hé bien, ça ne vas pas être facile d’explorer ces ruines avec ces cyclones. Ils sont impressionnants. Comment ont-ils pu construire ces installations avec un tel climat ?
- C’est la destruction de la lune qui a provoqué ce changement climatique. Notre équipe de terra formation pourra y remédier. » Lui répondit-elle sans un sourire.

Le vaisseau atterrit dans une zone plus calme, située près d’une infrastructure que le caporal Eluard reconnu comme un ancien chantier spatial. Le capitaine Vénon appela la flotte pour indiquer l’atterrissage. Notre périple ne fait que commencer, se dit Héléna. Un œil vers ses compagnons d’infortune lui indiqua qu’elle n’était pas la seule à penser ça…

Le 2ème classe Basset tombait. Il tombait, vers le néant, la fin, le silence et la sérénité. Bon courage à vous tous... Et pardonnez moi, pardonnez moi... Mes camarades... Mes amis...

Lorsque le vaisseau s'était enfin posé à la surface de cette planète, le silence oppressant qui avait suivi l'extinction des moteurs avait semblait menacer de les écraser tous, de part son intensité. Ils venaient de contourner l'un des énormes cyclones de la surface, dont les comportements ne répondaient à aucune règle météorologique connue. Les mouvements chaotiques de ces phénomènes les avaient surpris et avaient bien failli les entraîner droit à la catastrophe.

Maintenant, l'imposante structure du chantier les dominer et leur rappelait clairement qu'ils n'étaient pas les premiers à être venus ici. Cette ruine massive semblait de mauvais augure à Héléna. "Ce n'est ni le lieu ni le moment d'être superstitieuse", se dit-elle.
La voix du capitaine rompit le silence, semblant au départ incroyablement ténue, comme si elle revenait d'un endroit perdu et oublié, presque à jamais disparue.

" - Bien... Préparez... Donnez moi les résultats des tests finaux d'atmosphère, sortez les combinaisons : si nous somme pris dans d'aussi violents courants d'air sans protection, c'en est fini de nous. Lieutenant Farrow, vérifiez l'équipement des hommes, je les veux tous prêts à sortir d'ici 10 minutes chrono. Rompez.
- Oui mon capitaine !". Elle avait beau détester l'air suffisant et orgueilleux de cet homme, elle devait admettre qu'il avait le mérite de toujours garder la tête froide. Si c'était un humain médiocre, qu'il ait au moins le mérite d'être un bon capitaine. Elle chassa ces pensées d'un revers de la main.
" - Eluard, vous serez mon second sur cette mission de reconnaissance. Attrapez votre équipement, et récupérez moi des vivres de survie. Je préfère être prudente..."

Une dizaine de minute plus tard, le sas du vaisseau s'ouvrait, et la chaleur de l'air qui s'engouffra les surpris tous, presque suffocante.
" - Bon courage Farrow. Messieurs, je compte sur vous pour nous mener cette mission à bien. Aucun risque inutile, efficacité et rapidité. Vous avez 2 heures pour effectuer les relevés de reconnaissance."
Un salut rapide avait répondu à l'ordre du capitaine, puis l'équipe s'était engagée à la suite d'Héléna, s'avançant vers le sol désertique et poussiéreux précédant les ruines métalliques.

C'est ainsi que tout avait commencé, avant que cela ne tourne si mal. Comment une mission si simple avait pu à ce point dériver ? Basset ferma les yeux. C'est incroyable comme une chute avait le pouvoir de ralentir le temps. Ou alors ce trou était d'une profondeur incroyable. Il replongea dans ses souvenirs ...

Eluard et Farrow venait de quitter la plaine déserte où avait atterri le vaisseau. Au pas de gymnastique, ils rentrèrent dans un canyon gigantesque, fait de minéraux volcaniques noirs. L’air était oppressant. Heureusement que je ne suis pas claustrophobe, se dit Héléna.
Les deux compagnons suivirent le défilé qui les mènerait jusqu’aux ruines. L’étoile de la planète dispersait sa lumière dans le canyon, les éclairant quelque peu. Cela leur sauva la vie.

Le poing dressé en l’air, signe de danger, Eluard observa vers la droite à 20 mètres du sol. Héléna suivit la direction du regard et vit sur le mur deux scolopendres qui descendaient vers eux. Leur vitesse était fulgurante. Elle pris son fusil laser en main ainsi que son compagnon et deux salves laser prirent la direction des créatures. La cible de Dirk s’effondra dans un crissement de chitine contre pierre au fond du canyon.
Celle d’Héléna ne fut pas touchée. Elle continua son mouvement vers le sol et se réceptionna avec une aisance surprenante pour sa masse. Paul n’eut pas le temps de retirer. Le monstre percuta celui-ci et le fit voler à 10 mètres de là. Héléna garda son sang froid et toucha sa cible cette fois, la sueur au front.
La menace écartée, elle fonça vers le corps étendu de Dirk Eluard. Tout en s’arrêtant, elle vit qu’il vivait. Il se redressa en secouant la tête, et la regarda.
« Tu vas bien ?
-Ou..Oui… Je crois. »
Ils observèrent les deux corps extraterrestre étendus au sol.
« Bon, dit Paul. Nous avons assez perdu de temps comme cela. Reprenons la route, et signalons au capitaine que les autochtones ne sont pas des plus hospitaliers.
- Ok. Après toi. »
Il lui fit un clin d’œil et reprit la marche, suivi d’une Farrow qui redoublait de vigilance.

Il leur fallut une bonne heure de route terrestre pour atteindre le bout du canyon. Le spectacle qui se dévoila alors n’était que le triste résultat d’une attaque spatiale.
Un plateau nimbé d’une lumière violette, celle de l’étoile de système solaire, se trouvait juste devant eux, à 5 kilomètres terrestres de leur position. Dessus, ils virent une base d’origine inconnue qui s’élançait comme une flèche vers le ciel pourpre. Héléna estima qu’elle devait bien faire 10 kilomètres terrestres de hauteur, sans compter le plateau. Cette base était hérissée d’excroissances mécaniques…ou organique, au choix, mais montait les stigmates d’un bombardement aérien. Aucun cyclone n’était en vue.
« Dans une heure nous pouvons y être.
- Ok, Farrow. J’envoie les images à ce bon vieux Vénon. Heu…vous êtes rudement bien entraînée pour une scientos.
-Gym, et boxe. Deux heures par jours. Et j’en suis heureuse, car j’aurai perdu un poumon en route autrement. »
Paul éclata de rire et repris la route vers la citadelle.

Au fur et à mesure qu’ils s’en approchaient, les deux humains découvrirent dans le sol des restes de vaisseaux spatiaux. La guerre a été violente, ici, se dit Paul. Il leva son regard vers le ciel et l’observa. Un moment de repos avant d’entrer dans la forteresse était bien mérité. Farrow et lui établirent un campement de fortune. Sept étoiles filantes déchirèrent le ciel, disparaissant derrière la citadelle.
« Bon ou mauvais présage, Paul ?
-Seul l’avenir nous le dira, Farrow. Seul l’avenir nous le dira… »

Dans une des salles secretes de l'immense palais du gouvernement Xanlian, une reunion à huit clos se tenait et la tension etait à son comble, cela se sentait à l'atmosphere lourde qui y regnait. Seuls quatre immenses creatures étaient presentes.
Autour de la table magestueuse, on pouvait apercevoir que yioji était terriblement tendu, ses tics nerveux trahissaient la profonde colere qui grandissait en lui.
''Quel est le soucis Yioji, j'aimerai savoir ce qui vous preoccupe à ce point ?'' dit le chef supreme de la planète Xanlian, un certain Traapoy.
''Le soucis!!!!, ah oui nous avons un sacré soucis, c'est sur, ce n'est pas comme la derniere fois, ce ne sera pas aussi facile'' répondit Yioji.
''Et pourquoi donc, nous avons toujours notre edlm, et elle fonctionnera comme elle a fonctionné la fois precedente'' retorqua Traapoy.
A ce moment, intervint Ryafss, le scientifique et chercheur du groupe, dirigeant toutes les installations de recherches de la planète et supervisant tous les projets en cours, et il annonca ceci ''nous n'avons pas affaire aux mêmes colonisateurs, la derniere fois cela a été un jeu d'enfants de les detruire car ils s'etaient principalement installés sur la lune, et il a suffit d'atomiser celle-ci avec notre edlm pour regler le probleme....
mais cette fois ci, nous avons affaire a des.... Terriens''.
Le dernier mot de sa phrase avait été prononcé avec un leger tremblement dans la voix, et l'on imaginait facilement que ce mot lui inspirait une terrible peur.

sette peur leur glaça le dos.il sorti sont arme pour se rassurer quand soudain!UN EBOULEMENT ! il ne pouvait + revenir en arriere ils avancerent vers les terriens.
15 minute s ecoulerent il est pris dans une impasse puis les hommes les encerclairent et leur offrait a boire comme signe de bienvenue et leur racontait se qui sait passer.
Nous avons eu a faire avec le peuple angefionel il commencerent a prendre le controle de toute nos defense et retournait nos missile nucleaire sur nous.tres peu de gens on survecu.puis quand les armer on essayer de riposter nos bombe explosait avant meme de les avoir toucher
et larmer fu ballayer maintenant elle nous cultive et prenne notre sang.
(blade ne lit pas la fin lol)